Le chantier était tout d'un coup calme cette semaine. Parce que les trois ouvriers sont partis pour un autre chantier. Il ne reste que Geo., chef du chantier. Il a attaqué l'isolation du toit tout seul. Il a d'abord mis plein de piques sous les chevrons , qui tiendront la deuxième couche isolante. Et après, il a commencé à mettre sa première couche de laine de verre entre les chevrons. Il se plaignait que des poussières de verre piquait ses yeux car ça s'envole au moment de la pose. Tout se passe maintenant dans la maison.
Jusque là, il y avait tout le temps du bruit, l'aller et venue des gens et des matériaux. Je me sens un peu triste sans le brouhaha que j'ai pu observer tout au long de travaux à travers la fenêtre de la petite maison. En plus, le froid arrive ! Il fait encore noir quand Geo. arrive. Il doit éclairer la maison avec des projecteurs ou des lampes improvisées. On a décalé d'une heure notre rendez-vous de chantier du mercredi. Avec le froid, la vie en chantier va être de plus en plus dure.
Mais ce matin Nat., le maçon qui a surtout travaillé au début des travaux, est revenu de Bordeaux pour aider Geo. Il est le plus gai et le plus bruyant de l'équipe. Cela va égayer un peu l'ambiance fraiche qui s'était installée. Ils vont mettre la deuxième couche ensemble . Et après, le dernier film d'isolation par dessus la semaine prochaine.
vendredi 21 octobre 2011
mardi 11 octobre 2011
Enfin couverts
Le couvreur J. a terminé aussi le toit de la cage d'escalier côté jardin. Les trois petits vélux ont été posés.
Geo. le chef du chantier continue patiemment les escaliers. Il a l'air d'un ours gentil, silencieux mais méthodique. Grâce à son travail de coffrage et de bétonnage, nous pouvons maintenant monter jusqu'au 1er étage. Demain jusqu'au 2ème ! En passant par l'ancien escalier, qui n'est pas encore détruit, nous savons que l'on a une belle vue à partir du trou de fenêtre en demi-lune, chez Paul, tout en haut.
Ca. commence à attaquer le petit balcon attenant à une pièce où nous souhaiterions mettre les tatamis. Je tenais à ce balcon. Je voulais une petite ouverture vers le jardin pour que la pièce respire.
Les deux électriciens père et fils ont débarqué sur notre chantier depuis le début de la semaine. Nous étions un peu affolés car notre plan d'électricité n'était pas tout à fait au point suite aux changements divers. Nous avons eu un entretien avec l'architecte ce matin et c'est plus clair maintenant.
Une amie architecte m'avait prévenu : Dans les travaux, on court sans arrêt derrière les entrepreneurs. C'est une vérité.
Geo. le chef du chantier continue patiemment les escaliers. Il a l'air d'un ours gentil, silencieux mais méthodique. Grâce à son travail de coffrage et de bétonnage, nous pouvons maintenant monter jusqu'au 1er étage. Demain jusqu'au 2ème ! En passant par l'ancien escalier, qui n'est pas encore détruit, nous savons que l'on a une belle vue à partir du trou de fenêtre en demi-lune, chez Paul, tout en haut.
Ca. commence à attaquer le petit balcon attenant à une pièce où nous souhaiterions mettre les tatamis. Je tenais à ce balcon. Je voulais une petite ouverture vers le jardin pour que la pièce respire.
Les deux électriciens père et fils ont débarqué sur notre chantier depuis le début de la semaine. Nous étions un peu affolés car notre plan d'électricité n'était pas tout à fait au point suite aux changements divers. Nous avons eu un entretien avec l'architecte ce matin et c'est plus clair maintenant.
Une amie architecte m'avait prévenu : Dans les travaux, on court sans arrêt derrière les entrepreneurs. C'est une vérité.
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